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FESTINS

lundi 8 octobre 2012, par Brigitte Lafleur

un festin ou un banquet pour nous est un grand repas pour célébrer un mariage,un anniversaire,fête, repas de fin d ’année.
- Les romains En principe donc un festin, un banquet comportent la même composition qu’un repas ordinaire :hors-d’oeuvre ou entrée (gustatio), prima mensa, qui peut alors comporter plusieurs services , et secundæ mensæ. Et si les plats sont nombreux, on s’ingénie surtout, comme nous l’avons dit, à provoquer la surprise : le spectacle constitué par l’apparence du plat est une première jouissance ; il faut donc présenter les mets avec art.
- Au moyen age : dans un monde qui,au xiv et xv siècle,est souvent tenaillé par la faim ,les châteaux et les somptueux palais urbains de l’aristocratie apparaissent comme autant d’îlots de goinfrerie. Manger plus et manger mieux sont en effet des privilèges de ce groupe sociale,qui trouve dans les évènements les plus variés de nombreuses occasions de ripailles.
- Louis XIV offrait au moins cinq repas, chacun d’entre eux comprenait une variété considérable de plats avoisinant les cinquante. Ce qui représentait pour un festin courant a la table du roi soleil un total de 250 plats !
- le menu servi dans l’avion le concorde est très copieux avec de nombreuses entrées 2 plats chauds et 2 desserts.

Messages

  • Les Grecs ont pu développer "leur cuisine" grâce à aux invasions et aux conquêtes. Le premier ouvrage sur la nourriture la "Grastrologie" à été écrit par le Grec Archestrate après qu’il eu parcouru le monde connu à la recherche de tout ce qu’il pouvait y avoir de meilleur à boire et à manger ; les préparations culinaires furent relevées par de nombreux condiments :la câpre, le raifort, la coriandre, la sauge...On doit aussi au célèbre et fameux....Pythagore, outre son théorème, l’abstinence des viandes : être végétarien. Comment se réincarner en animal si nous les mangeons ? tout un programme. Le premier Top Chef ou Master Chef du premier concours culinaire d’Athènes fut nommé Chiroménès qui avait présenté au jury des truffes assaisonnées d’épices, bardées de lard et cuites au vin, à l’étouffée, dans une enveloppe de pâte...
    Les Romains rivalisaient de plats rares et plus souvent insensés : on servait des talons de chameau, des trompes d’éléphants, des têtes de perroquets, des ragoûts de foie de rossignols, truffes farcies d’ortolan...

  • Le festin existe aussi pour se mémoriser cet instant de célébration : on va se souvenir ainsi d’une date, des mets appréciés, des rencontres avec des convives, de la vaisselle utilisée, du lieu, du temps qu’il faisait et même de la musique...autant d’éléments qui ensemble en font "la gastronomie".
    Bien sûr, le festin ou cette abondance de nourriture à évoluer avec le temps et avec l’histoire. La gastronomie marche de pair avec la civilisation. Il y a eu des périodes "d’éclat" lorsqu’une civilisation vivait dans l’opulence de ses richesses, mais qui conduisait souvent à la débauche et à la décadence, et des périodes "d’éclipse" aux moments des guerres ou grands évènement politiques.

  • Les Romains rivalisaient de plats rares et plus souvent insensés : on servait des talons de chameau, des trompes d’éléphants, des têtes de perroquets, des ragoûts de foie de rossignols, truffes farcies d’ortolan...
    coriandre, la sauge...On doit aussi au célèbre et fameux....Pythagore, outre son théorème, l’abstinence des viandes : être végétarien. Comment se réincarner en animal si nous les mangeons ? tout un programme. Le premier Top Chef ou Master Chef du premier concours culinaire d’Athènes fut nommé Chiroménès qui avait présenté au jury des truffes assaisonnées d’épices, bardées de lard et cuites au vin, à l’étouffée, dans une enveloppe de pâte...
    Les Romains rivalisaient de plats rares et plus souvent insensés : on servait des talons de chameau, des trompes d’éléphants, des têtes de perroquets, des ragoûts de foie de rossignols, truffes farcies d’ortolan...

  • En France, au XIIè et au XIIIè siècle, la gastronomie fut plus ou moins négligée à cause des différentes croisades consécutives. Au XIIIè siècle Saint-Louis avait déjà deux sauciers. Au XVè siècle, le citron originaire de Chine puis le riz originaire de l’Inde furent introduits en France. On cultivait le pommier, le poirier, le prunier, le noyer, le noisetier, le châtaignier, le cerisier ; on fabriquait des darioles, des oublies, des échaudés, des pâtisseries au fromages dorées au jaunes d’oeuf, des beignets, des crêpes, des tartes, des flans. Néanmoins, la cuisine au moyen âges était encore relativement très médiocre. On donnait des festins dans lesquels on s’attachait beaucoup plus au luxe déployé dans les accessoires qu’au choix des mets et à leur préparation.
    Il faut arriver au commencement de la Renaissance pour constater des progrès réels dans l’art culinaire.
    Sous Louis XIV, le personnel de cuisine comprenait au moins 500 personnes pour servir les agapes du Roi. louis XV cuisinait tandis que Louis XVI était un boulimique. Napoléon Ier était un triste mangeur et louis XVI distinguait à l’aveugle des variétés de fruits de la même famille.

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